« 5 décembre : j’y serai » (n°1495 SNALC École)

QU1495 SNALC Ecole : "5 décembre : j'y serai"

Que faisons-nous quand l’explication que nous donnons en classe semble difficile à comprendre par nos élèves ? Que faisons-nous quand les résultats de l’évaluation d’un élève sont catastrophiques ? Que faisons-nous quand l’IEN critique notre façon d’enseigner ? Nous, professeurs des écoles, avons tous la même réaction. Notre engagement pour l’école, notre conscience professionnelle et notre désir de faire en sorte que les apprentissages que nous dispensons soient les plus efficaces possible nous poussent systématiquement à remettre nos méthodes en question.

Déclaration intersyndicale (suite à l’audience multilatérale du 21/10/2024)

Audience multilatérale du 21 octobre 2024 : déclaration intersyndicale

Madame la ministre,
À plusieurs reprises, vous avez fait savoir votre souhait d’avoir « un dialogue constant, sincère et direct » avec les organisations syndicales. Ces échanges sont indissociables de la démocratie sociale. Certains de vos prédécesseurs ont largement mis à mal ce principe par des pratiques inacceptables. Nos organisations souhaitent revenir sur la diffusion à la presse des informations incomplètes et erronées à la sortie de la réunion avec votre cabinet mercredi dernier.

Budget 2025 : l’intersyndicale dépose une alerte sociale

SNALC : l’intersyndicale dépose une alerte sociale

Alors que toutes les études internationales affichent le système éducatif français comme étant l’un de ceux où les inégalités scolaires se creusent et sont particulièrement marquées socialement, où les enseignants travaillent plus pour un salaire inférieur, où les classes sont chargées, le projet de budget 2025 présenté cette semaine par le gouvernement envisage des retraits d’emplois d’une ampleur dévastatrice.

Budget 2025 : une saignée monstrueuse pour l’Éducation nationale

Budget 2025 : une saignée monstrueuse pour l'Éducation nationale

Le SNALC a pris connaissance de ce que le gouvernement envisageait pour le projet de loi de finances 2025. Nous sommes au-delà du catastrophique : la « priorité » à l’École annoncée par le premier ministre dans son discours de politique générale s’est transformée en saignée. C’est notre ministère qui paie le plus lourd tribut aux errements budgétaires de nos dirigeants.

CAEN du 09/04/2024 : Le grand gâchis

Le grand gâchis - CAEN du 9 avril 2024

La préparation de la rentrée 2024, unique sujet à l’ordre du jour de ce Conseil Académique de l’Education Nationale, présente deux visions contrastées. D’un côté, l’école bénéficie de moyens importants, notamment dans le premier degré. De l’autre côté, paradoxalement, le SNALC considère que cette rentrée témoigne d’un grand gâchis dans l’utilisation de ces moyens.

Carte scolaire 2024 : l’hécatombe !

Carte scolaire 2024 : l'hécatombe

Dans tous les départements de l’académie, les fermetures de classe se multiplient en prévision de la rentrée 2024, et le nombre d’ouvertures est toujours largement insuffisant.
Le SNALC Orléans-Tours tient les comptes, et ne laissera rien passer face à cette nouvelle détérioration inacceptable des conditions de travail des professeurs des écoles.

Carte scolaire 2024 dans le 1er degré : notre grande enquête

Enquête carte scolaire 2024, académie Orléans-Tours

70 postes vont devoir être « rendus » par les écoles de l’académie Orléans-Tours à la rentrée 2024.
Vous redoutez une fermeture ? Vous espérez une ouverture ?
Les instances qui vont en décider ont commencé à se réunir dans presque tous les départements de l’académie.
Le SNALC vous propose de répondre à cette enquête pour être mieux représentés, mieux soutenus, mieux défendus.

Carte scolaire 2024 : les élèves doivent passer avant les économies !

Carte scolaire 2024 : les élèves doivent passer avant les économies !

Pour la rentrée 2024, 650 postes seront supprimés au niveau national dans les écoles maternelles et élémentaires. L’académie d’Orléans-Tours paie un lourd tribut : 70 classes ferment !
Si les principales raisons avancées s’entendent, pour le SNALC Orléans-Tours, la baisse démographique ne peut rimer avec un service public en baisse.