« Assez ! » (n°1499)

"Assez !" (n°1499 SNALC)

Traditionnellement, les personnels de l’Éducation nationale — en particulier les professeurs — sont jugés coupables d’être toujours en vacances et de ne pas travailler beaucoup. Grâce à l’investissement du SNALC, cette image d’Épinal s’estompe, même si elle n’a pas disparu tout à fait. Nous martelons dans tous les grands médias nationaux la réalité du terrain. Nous combattons les idées reçues avec des faits, des données chiffrées.

« Déconsidérés » (n°1498)

"Déconsidérés" (n°1498 SNALC)

Le temps politique et le temps médiatique sont des temps de l’immédiateté et de l’annonce-choc. Le temps éducatif et le temps syndical ne fonctionnent pas ainsi. Nous sommes sur les fondamentaux. Pas ceux qui servent à deux ministres sur trois à communiquer sur l’importance du français et des mathématiques tout en supprimant des heures de français et de mathématiques, mais les fondamentaux de nos métiers. Le SNALC est la meilleure chambre d’écho que vous pouvez trouver à vos préoccupations.

« Nuls ! » (n°1497)

"Nuls !" (n°1497)

Selon le premier ministre, dans le nouveau gouvernement, « l’éducation est à sa place, la première ». Dans les faits, il ne parlait que de l’ordre protocolaire, et non de la réalité de la politique éducative menée. Cette politique, impressionnante de constance malgré les changements de visages que nous constatons tous les trois mois environ, obtient des résultats tout aussi constants : ils sont, invariablement, nuls.

Comment appréhender les effets de l’omniprésence du numérique dans nos métiers ?

Comment appréhender les effets de l'omniprésence du numérique dans nos métiers ?

Depuis plus de 10 ans, les métiers de l’enseignement et de l’éducation ont été largement touchés par l’émergence, devenue maintenant omniprésence, du numérique. Il ne s’agira pas ici de proposer une analyse des vertus et des défauts d’une telle évolution, mais d’attirer l’attention des collègues sur les risques qu’elle peut engendrer quant à leur pratique professionnelle ainsi que les moyens de s’en prémunir.

« En 2025, continuons à nous battre » (n°1496)

QU1496 SNALC : "En 2025, continuons à nous battre"

Je vous souhaite à toutes et à tous une très belle année 2025. J’ai une pensée toute particulière pour les collègues et les élèves de Mayotte.
2024 s’est terminée comme elle avait commencé : n’importe comment. À l’heure où j’écris ces lignes, nous attendons encore les noms des ministres de l’Éducation nationale et de la fonction publique. Cette année aura vraisemblablement connu cinq occupants rue de Grenelle, dont la plus éphémère n’est même pas restée un mois.

« 5 décembre : j’y serai » (n°1495)

QU1495 SNALC : "5 décembre : j'y serai"

Je sais qu’il y a de nombreuses raisons de ne pas la faire. La grève ponctuelle à répétition est un échec, et le SNALC le dit et le sait. Il est de plus en plus difficile de mobiliser. Nous essuyons surtout des défaites. Il faudrait un mouvement long / une grève reconductible / des alternatives à la grève…
Pourtant, le SNALC appelle à la grève à partir du 5 décembre.
Nous le faisons car il faut le faire. Nous le faisons car ce qui est en train de nous arriver est une accélération violente dans le processus à l’œuvre de destruction de la fonction publique. Nous le faisons aussi car s’il n’y a pas la grève, il n’y aura rien d’autre.

« Menteurs, menteurs, menteurs » (n°1494)

QU1494 : Menteurs, menteurs, menteurs

Les suppressions de postes prévues au budget ? C’est « salutaire » de suivre la démographie, selon le ministre de la fonction publique. Les conditions de travail en Seine-Saint-Denis ? C’est « une expertise supplémentaire que l’on donne à nos enseignants », d’après la ministre de l’Éducation nationale. Fabuleux, non ?
Il faut dire que la post-vérité tourne à plein régime en ce moment au ministère.

« Cap sur l’iceberg ! » (n°1493)

QU1493 : Cap sur l'iceberg !

Au moment où j’écris ces lignes, les ministres Anne Genetet (Éducation nationale), Patrick Hetzel (Enseignement supérieur) et Alexandre Portier (Réussite scolaire et Enseignement professionnel) ont été nommés, et le SNALC devrait bientôt les rencontrer pour porter les revendications des collègues.
La situation est d’une très forte instabilité, comme nous le confient les députés qui nous auditionnent, et qui semblent s’intéresser de plus en plus aux organisations représentatives. Étonnant de voir que lorsque le politique est dans la tourmente et l’incertitude, les « corps intermédiaires » retrouvent soudain de l’intérêt.

Paroles d’adhérents : le SNALC Orléans-Tours, c’est vous.

SNALC Ecole : nos adhérents témoignent

Parce qu’il se joue souvent « en coulisses » et qu’il n’est pas toujours visible, l’essentiel de l’action syndicale est souvent méconnu, parfois sous-estimé, voire régulièrement décrié. Or, au SNALC Orléans-Tours, nous savons que nos adhérents sont nos meilleurs ambassadeurs, car ils sont les premiers témoins du travail d’accompagnement et de défense que notre syndicat abat au quotidien pour eux dans toute l’académie. En cette rentrée 2024, nous leur avons proposé de prendre la parole, et ils sont nombreux à s’en être saisis.

« Dessine-moi un ministre ! » (n°1492)

QU1492 : Dessine-moi un ministre !

Il connaîtra ses dossiers. Elle aura de l’ambition politique. Il aura mis ses enfants dans le privé. Elle voudra faire SA réforme. Il supprimera des postes. Elle ne trouvera pas de candidats. Il abrogera les groupes de besoin ou de niveau — il n’aura jamais réussi à comprendre la différence — en 6e et 5e. Elle placera le SNU sur temps scolaire. Il parlera du pilotage. Elle parlera de la gouvernance…

Professeurs des écoles : comptez vos 108 heures !

En tant que professeurs des écoles, nos obligations de service sont de 24 heures hebdomadaires devant élèves, auxquelles s’ajoutent 108 heures réglementaires annuelles (ce qui représente trois insuffisantes petites heures par semaine).
Le SNALC École Orléans-Tours vous propose d’éclaircir tout cela.