« 120 ans d’indépendance » (n°1500)

QU n°1500 - 120 ans d'indépendance

Je suis très heureux et très touché d’être président du SNALC alors que nous fêtons les 120 ans de notre organisation et le 1 500e numéro de notre revue syndicale.
Le SNALC est une aventure unique. Dans un paysage syndical français marqué par une histoire très spécifique et organisé autour de grandes centrales, le SNALC joue la carte de l’indépendance, garantie par l’article 1er de ses statuts. Il ne vit que de vos cotisations. Il est professionnel sans être purement corporatiste. Son unique objet est la défense des conditions matérielles et morales des collègues. C’est sa boussole et sa seule raison d’être.

(Courrier intersyndical) Des nouveaux programmes de cycle 3 à marche forcée

Des nouveaux programmes de cycle 3 à marche forcée

Annoncée avec le « choc de savoirs » le 5 décembre 2023, la réécriture des programmes de l’école au lycée se fait à marche forcée. Les programmes de cycle 1 et 2 en mathématiques et en français, comme ceux de langues vivantes et régionales au collège et au lycée n’ont pas bénéficié d’une concertation suffisante.

« Déconsidérés » (n°1498)

"Déconsidérés" (n°1498 SNALC)

Le temps politique et le temps médiatique sont des temps de l’immédiateté et de l’annonce-choc. Le temps éducatif et le temps syndical ne fonctionnent pas ainsi. Nous sommes sur les fondamentaux. Pas ceux qui servent à deux ministres sur trois à communiquer sur l’importance du français et des mathématiques tout en supprimant des heures de français et de mathématiques, mais les fondamentaux de nos métiers. Le SNALC est la meilleure chambre d’écho que vous pouvez trouver à vos préoccupations.

« Inverser la tendance » (n°1498 SNALC École)

"Inverser la tendance" (n°1498 SNALC École)

Si l’Éducation nationale va mal, si ses personnels sont déconsidérés, c’est aussi car on ne sait ou ne veut pas fixer les priorités. L’École est devenue un objet médiatique. Dans un contexte plus que morose, il faut trouver des explications, et surtout identifier des responsables… et des coupables. Qui de mieux que les professeurs des écoles pour endosser ce rôle de bouc émissaire ?