« L’école est un investissement » (n°1503 École, juillet 2025)

"L'école est un investissement" (n°1503 École)

L’année scolaire 2024-2025 s’est achevée dans une atmosphère lourde et étouffante : températures extrêmes dans les classes, remise en cause des rythmes scolaires, déploiement des PAS, fermetures de classes, pilotage « loi Rilhac », évaluations d’école stériles…
La sérénité a bel et bien disparu de nos écoles, de nos classes, de notre quotidien de professeur des écoles. Même à l’approche de la fin d’année, les sourires se sont effacés.

Comment appréhender les effets de l’omniprésence du numérique dans nos métiers ?

Comment appréhender les effets de l'omniprésence du numérique dans nos métiers ?

Depuis plus de 10 ans, les métiers de l’enseignement et de l’éducation ont été largement touchés par l’émergence, devenue maintenant omniprésence, du numérique. Il ne s’agira pas ici de proposer une analyse des vertus et des défauts d’une telle évolution, mais d’attirer l’attention des collègues sur les risques qu’elle peut engendrer quant à leur pratique professionnelle ainsi que les moyens de s’en prémunir.

« L’école implosive » (n°1490 SNALC École)

QU1490 SNALC Ecole : L'école implosive

La question qui finit par se poser est la suivante : qui du système ou de ses personnels s’effondrera en premier ? Les indicateurs sont clairs et disent tous la même chose : l’implosion est proche. […] Et de quoi se préoccupe-t-on au ministère ?

« Une politique inhumaine » (n°1489 SNALC École)

QU1489 SNALC Ecole : Une politique inhumaine

Alors qu’il n’a généralement que les mots « gouvernance » et « pilotage » à la bouche, le ministère est dans un état de désordre rarement atteint. Et la politique menée s’en ressent. […]
Au SNALC, on n’oublie jamais que le cœur de l’école, c’est l’humain. Et que la politique menée est, depuis trop longtemps, inhumaine.

« Le primaire brûle » (n°1486 SNALC École)

Quinzaine universitaire SNALC Ecole n°1486 - "Le primaire brule"

Les directeurs croulent littéralement sous les missions et leurs nerfs sont mis à rude épreuve. Trop de complications, trop de perte de temps, trop de contraintes, trop de missions, trop de responsabilités, trop c’est trop ! Et toujours pas d’allégement de service ni d’aide administrative. Conscient des vrais problèmes de terrain, le SNALC n’aura de cesse de les réclamer.