« La première place, vraiment ? » (n°1497 SNALC École)
À l’Éducation nationale, la lassitude – voire la saturation – commence à se répandre. Les professeurs attendent depuis des années un ministre véritablement proche de leur réalité, idéalement issu de leurs rangs : une personne pragmatique, qui connaisse parfaitement les problèmes, les contraintes et les attentes réelles de la profession. Malheureusement, la tendance à déplacer les ministres d’un ministère à l’autre montre que les nominations sont dictées par des stratégies bien éloignées des préoccupations concrètes.
« En 2025, toujours à vos côtés » (n°1496 SNALC École)
Jours de carence, augmentation des impôts, suppression de jours fériés, instauration d’une nouvelle journée de solidarité, suppression de la GIPA, blocage des évolutions de carrière, suppressions de postes… Le gouvernement enchaîne les mesures drastiques – déjà actées ou en réflexion – dans le but de faire des économies, notamment au détriment de l’Éducation nationale.
Le pays doit trouver de l’argent, et cela, dans tous les secteurs. S’il n’y a aucune raison d’en exempter l’Éducation nationale, pour le SNALC, le choix de faire payer une fois de plus la facture aux professeurs n’est pas acceptable.