Travailler à l’étranger : postuler à l’AEFE

Dans un contexte budgétaire tendu, le recrutement de l’Agence pour l’Enseignement Français à l’Étranger (AEFE) reste attractif et il est désormais décentralisé : ce sont les chefs d’établissement, après avis de la commission consultative locale, qui transmettent les noms des candidats retenus aux services de l’AEFE pour des contrats de 3 ans renouvelables une fois.
« Déconsidérés » (n°1498)

Le temps politique et le temps médiatique sont des temps de l’immédiateté et de l’annonce-choc. Le temps éducatif et le temps syndical ne fonctionnent pas ainsi. Nous sommes sur les fondamentaux. Pas ceux qui servent à deux ministres sur trois à communiquer sur l’importance du français et des mathématiques tout en supprimant des heures de français et de mathématiques, mais les fondamentaux de nos métiers. Le SNALC est la meilleure chambre d’écho que vous pouvez trouver à vos préoccupations.
« Inverser la tendance » (n°1498 SNALC École)

Si l’Éducation nationale va mal, si ses personnels sont déconsidérés, c’est aussi car on ne sait ou ne veut pas fixer les priorités. L’École est devenue un objet médiatique. Dans un contexte plus que morose, il faut trouver des explications, et surtout identifier des responsables… et des coupables. Qui de mieux que les professeurs des écoles pour endosser ce rôle de bouc émissaire ?
« La première place, vraiment ? » (n°1497 SNALC École)

À l’Éducation nationale, la lassitude – voire la saturation – commence à se répandre. Les professeurs attendent depuis des années un ministre véritablement proche de leur réalité, idéalement issu de leurs rangs : une personne pragmatique, qui connaisse parfaitement les problèmes, les contraintes et les attentes réelles de la profession. Malheureusement, la tendance à déplacer les ministres d’un ministère à l’autre montre que les nominations sont dictées par des stratégies bien éloignées des préoccupations concrètes.