Le SNALC contre le « tri social »

Le SNALC contre le "tri social"

Le SNALC, qui a élaboré un projet comportant l’idée de groupes de niveaux, est accusé d’être partisan du « tri social » et de la stigmatisation. Faut-il ajouter foi à ces affirmations ?
Le SNALC vous dit tout, sans faux-semblant ni dogmatisme.

« Loi Rilhac 2 : deux fois pire » (n°1487 SNALC École)

QU1487 Loi Rilhac 2 : deux fois pire !

Le SNALC avait clairement averti les directeurs comme les adjoints lors du travail sur la première loi Rilhac : les bonnes intentions affichées étaient un leurre et un mensonge. Nous avions hélas eu raison : les rares bonnes mesures du projet (sur les décharges, par exemple) avaient bien vite été retirées sous l’influence du ministre de l’époque, et n’est resté qu’un tonneau des Danaïdes dans lequel les DASEN et les IEN peuvent verser à l’envi de nouvelles responsabilités sur les directrices et directeurs.

« Le sens des priorités » (n°1487)

QU1487 SNALC

Dans une République qui prendrait soin de son École, le temps du politique ne primerait pas sur le temps de l’éducation. De même, la communication politique — dont nous ne nions pas l’importance — ne prendrait pas le pas sur la réalité. Il y aurait une exigence de sincérité, d’honnêteté et de clarté, qui serait due aux personnels de l’Éducation nationale. Car l’École est un bien commun, et tout le monde s’entendrait pour la défendre.